Les
dispositifs d'émission
(1951-1959)
Au début des années 50, Allouis dispose, outre ses 5 émetteurs ondes courtes de 100 kW, d'un émetteur ondes courtes de 10 kW.
![]() En 1991, le centre A en cours de destruction |
![]() En 1997, le centre B utilisé comme base de maintenance |
Entre 1950 et 1953, les centres A et B d'Issoudun entrent en service, équipés chacun de 4 émetteurs de 100 kW de marque LMT pour le premier et SFR pour le second. Ils sont reliés à une trentaine d'antennes losange. Le bâtiment " provisoire " et ses 2 émetteurs de 50 kW devient alors un centre d'émission de secours. Pour être encore plus précis, il faut savoir que les émetteurs LMT étaient en fait des 150 kW et les SFR des 120 kW, mais pour préserver la durée de vie des tubes, qui étaient fragiles et coûteux, on limitait leur puissance à 100 kW. A noter que les tubes n'appartenaient pas à la RDF/RTF, mais étaient loués (c'est encore le cas de nos jours).
![]() La salle d'émission du centre B en 1964 |
![]() La salle d'émission du centre B en 2000 |
En 1953, avec la mise en service d'Issoudun, c'est l'arrêt définitif du centre OC1 d'Allouis. Le bâtiment est reconverti en local de service, encore utilisé en tant que tel par TDF de nos jours.
Implantation
des antennes des centres A et B
Plans
des antennes en pleine page :
Numérotation
des pylônes (60 ko) -
Schéma des feeders et commutateurs extérieurs (50 ko)